“Denis éditions” éditions artisanales - Plus qu'une édition, une envie de partage
Gazette, ce sont de courts textes de fiction, qui empruntent des genres littéraires différents et qui s’inspirent d’un mot, d’un personnage, d’un lieu, d’une époque, etc., tiré d’un des ouvrages publiés par Denis éditions.
(lire un extrait ci-dessous)

Tome 1 (2 parties) 370 pages
format poche













12,00 euros
hors frais lettre (tarif 243gr)






Tome 2 — 162 pages
format poche













6,00 euros
hors frais lettre (tarif 106gr)






Tome 3 — 156 pages
format poche













6,00 euros
hors frais lettre (tarif 102gr)






Tome 4 — 162 pages
format poche













6,00 euros
hors frais lettre (tarif 106gr)






Tome 5 — 188 pages
format poche













6,00 euros
hors frais lettre (tarif 123gr)






Tome 6 — 154 pages
format poche













6,00 euros
hors frais lettre (tarif 101gr)






Tome 7 — 180 pages
format poche













6,00 euros
hors frais lettre (tarif 118gr)






Tome 8 — 190 pages
format poche













6,00 euros
hors frais lettre (tarif 125gr)






Tome 9 — 208 pages
format poche













6,00 euros
hors frais lettre (tarif 136gr)






Tome 10 — 186 pages
format poche













6,00 euros
hors frais lettre (tarif 122gr)





Extrait du tome 1

EXTRAIT

“n°1 - lundi 25 mai 2020
Longtemps j’ai écrit de bonne heure

Longtemps j’ai écrit de bonne heure...
La première de cette “Gazette”, je voudrais la consacrer à cette première phrase d’un roman... que l’on appelle “incipit”.
Comment commencer un roman ? Quelle accroche choisir ?
Je voulais commencer un roman policier et une phrase traversa mon esprit :
“Le corps était sans vie.”
— Un peu court non ? me dis-je à haute voix.
— Oui, il manque quelque chose mon grand, me répondis-je.
n.b. : je me parle souvent à moi-même... une vieille habitude.
— Et ça alors ? : “Le corps d’Aldebert était sans vie”.
— Toujours aussi court, fis-je.
— Bon bon... voyons... tiens, voilà : “Le corps démembré était là, gisant dans une mare de sang, les tripes à l’air, un rictus déformant son visage. Aldebert était mort”.
— Graaave ! Là en y a trop.
— Tu fais chier !
Je réfléchissais un peu...
— Alors tu trouves ? me demandais-je.
— Aaaaattends !... tiens : “Aldebert avait glissé sur une peau de banane, il s’était fracassé le crâne”
— C’est un peu con. Et puis le truc de la banane, ça fait burlesque. [...]”