Giuseppe Garibaldi livre ici un pamphlet plus qu’anticlérical, c’est aussi une charge contre le pouvoir jésuitique. Lisez plutôt :
EXTRAIT
“Les Ecritures, que les stupides et les fourbes appellent saintes ou sacrées, placent à côté du premier couple le serpent, qui abuse de la faiblesse de la première femme pour la tenter. Elles eussent donné un tour plus heureux à cette belle fable en remplaçant le reptile par un prêtre. Car le prêtre est la véritable personnification de la malice et du mensonge. Il est autrement apte à la corruption et à la trahison que le répugnant et tortueux habitant des marais. Quand un prêtre, — et surtout un jésuite, la quintessence du prêtre, — se présente à mes yeux, toute la laideur de sa nature me frappe au point de me donner le frisson et des nausées. La plaie de la société moderne, c’est le cléricalisme, c’est-à-dire l’imposture.”
Extrait d'une histoire de Léo Taxil illustré par Pépin :
“C’était pendant le Carême. L’aumônier du couvent prêcha un sermon tout à fait pathétique sur les larmes que font verser au Christ les péchés des humains. « Mes soeurs, dit l’abbé qui était un savant, quand une de vous oublie de dire sa prière en se levant, du ciel alors tombe une larme du Christ, lacryma Christi. » [...]”
ISBN 9791094773574